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LES JOUEURS SONT LIBRES D’AVOIR DES RAPPORTS S3XUELS AVANT CHAQUE MATCH – LUIS ENRIQUE
ParFélix NAHM
L’entraîneur principal de l’Espagne, Luis Enrique, a provoqué des remous sur les réseaux sociaux après avoir accepté que les joueurs qui ont envie soient libres d’avoir des relations sexuelles avec leurs partenaires avant n’importe quel match dans le cadre de la coupe du monde qui se déroule au Qatar.
« C’est ridicule (de l’interdire). C’est quelque chose que je considère comme tout à fait normal.
« Si vous êtes dans une orgie la veille d’un match, ce n’est évidemment pas l’idéal, mais quand je suis entraîneur de club, les joueurs sont à la maison la veille d’un match et ce n’est pas quelque chose qui m’inquiète du tout.
« Si c’est quelque chose qu’ils font, c’est parce qu’ils en ont besoin et qu’ils le veulent. Mais je le répète avec bon sens ! Chacun avec son partenaire. C’est normal. Quand j’étais joueur, si j’étais à la maison avant un match, avec ma femme, eh bien on faisait ce qu’on avait à faire. », a déclaré le sélectionneur espagnol.
Il faut rappeler que pour son premier match du Mondial 2022, la sélection espagnole n’a pas fait de détails. Elle s’est imposée 7 à 0 contre le Costa Rica grâce notamment à un doublé de Ferran Torres.
En effet, pour son entrée en lice dans la Coupe du monde 2022, l’Espagne a proposé un récital pour disposer très facilement du Costa Rica (7-0), mercredi, au stade Al-Thumama de Doha (Qatar). La Roja prend déjà une option pour la qualification dans le groupe E, dans lequel l’Allemagne a été surprise par le Japon (2-1) trois heures plus tôt.
L’équipe de Luis Enrique a surtout impressionné et marqué les esprits par son niveau réel dans le tournoi. Grâce à un jeu digne du fameux « tiki-taka » (plus de 1 000 passes réalisées), elle a réussi le plus gros carton de cette 22e édition du Mondial, mieux que la victoire anglaise contre l’Iran (6-2) lundi. Les Espagnols ont démarré pied au plancher et n’ont jamais relâché l’étreinte sur une pauvre équipe costaricaine qui a terminé la partie sans le moindre tir.
Après la demi-heure de jeu, la Roja menait déjà 3-0. Dani Olmo a ouvert la marque d’un fabuleux enchaînement (11e), Marco Asensio a doublé la mise d’une frappe à l’instinct sur un service de Jordi Alba (21e) qui a ensuite provoqué le penalty transformé par Ferran Torres (31e). Ce dernier s’est offert un doublé au retour des vestiaires en profitant de la passivité costaricaine incarnée par le deuxième gardien du PSG, Keylor Navas (54e). Gavi a inscrit une merveille de but sur une reprise de volée de l’extérieur du pied qui est venue heurter le poteau avant de passer la ligne (74e), avant que le Parisien Carlos Soler (90e) et Alvaro Morata (90e + 3) ne parachèvent la démonstration en fin de match.
