ATHLÉTISME/ BIENTÔT UN CENTRE DE DÉVELOPPEMENT POUR L’AFRIQUE LUSOPHONE

Le président Kalkaba Malboum a séjourné à Praia, Cap Vert, en milieu de semaine. Il y a fait le dépmacement afin de poser les bases d’un centre de développement de l’athlétisme destiné aux athlètes des pays ayant le portugais comme langue de travail.

C’est un pas en avant dans l’œuvre de développement de l’athlétisme africain. Le président Kalkaba a paraphé et signé le 21 septembre 2022, en compagnie du Vice Premier Ministre et Ministre de la Jeunesse et des sports de l’île à l’ouest du contunent, le protocole d’accord qui rend dorénavant possible la construction d’un Centre africain de développement de l’athlétisme (AADC).

C’est une bonne perspective qui s’ouvre pour l’athlétisme dans les pays lusophones du continent. Les athlètes en herbe et ceux qui ont du talent et du potentiel pourront ainsi être détectés en temps utile et profiter d’un encadrement professionnel et scientifique.

Depuis quelques années, l’athlétisme africain a pu juger l’intérêt de tels centres. Celui de Dakat a ainsi réussi à fabriquer des champions dont Gina Baas et surtout Amantle Montsho, la gra,de championne botswanaise.

https://youtu.be/9eLmKzjxom4

Ce genre de centre existe dans plusieurs pays sur le continent. En octobre 2014, le président Kalkaba avait déjà paraphé et signé le même protocole en vue de l’installation d’un centre à Abidjan.

Plus tôt, il y en avait au Caire (Egypte), Dakar (Sénégal), Maurice (Ile Maurice), Nairobi (Kenya), Lomé (Togo), Lusaka (Zambie) et Port Harcourt (Nigeria) .

Ils sont revenus depuis peu sous le plein giron de la Confédération africaine d’athétisme (CAA). Chacun essaie, dans la mesure de ses moyens et des ambitions de la CAA, de se spécialiser dans des disciplines spécifiques, dépenant pour beaucoup des infrastructuires existantes.