JUSTICE ET FOOT/ BENJAMIN MENDY, UNE VICTIME DU SYSTÈME D’HYPOCRISIE ET DE DÉLATION 

Contre les dix charges retenues contre lui dont huit de tentative (et) de viol, Benjamin Mendy botte en touche certes mais il est fort à parier qu’il ne puisse pas se soustraire à l’étreinte du système pro féminisme qui semble avoir tout préparé pour le damner à jamais. Le champion du monde risque la prison à perpétuité et les premiers témoignages diffusés le mercredi 17 août 2022 inclinent à admettre la thèse du complot.

Pour Benjamin Mendy, l’euphorie du triomphe au dernier mondial devient de plus en plus un cauchemar. Les faits qui lui sont reprochés, du moins, selon le premier témoignage diffusé le mercredi 17 août 2022 dans la salle d’audience du Crown Court de Chester, Angleterre, remontent à 2018. La plaignante situe le « crime » au 24 octobre 2018, soit quelque deux mois après le mondial joué et remporté en Russie.

L’affaire est conduite presque à charge. C’est la parole de l’accusation contre celle de l’accusé. Dans sa déposition qui est en fait l’enregistrement d’une enquête de police ayant pris la forme d’un entretien entre une plaignante et un agent de police, la plaignante raconte les faits mais termine son récit en disant « ne pas se souvenir de la fin de la scène ». Le procureur Timothy Cray a ajouté que l’acusé avait tenté d’introduire son s3xe dans le vagin de la plaignante, sans succès, parce que cette dernière l’en avait empêché en jouant de ses genoux.

En outre, l’accusation met en relief une déclaration de la plaignante qui présente Mendy comme un fauve. « Il y avait ce regard de prédateur sur son visage », a déclaré la plaignante lorsque l’avocate Eleanor Laws lui a demandé pourquoi elle avait envoyé à une amie le message que voici : « Il me tourne autour en me demandant de ne pas partir. Il veut me sauter ».

Tout est déjà fait

Le contexte de ce procès incline à se demander si le défenseur français pourra se sortir de cette étreinte. Ce jeudi 18 août, il est prévu une nouvelle audition de plaignante. Selon le journal L’Equipe, il s’agit d’une accusation de trois viols qui se seraient produits dans la seule et même nuit en octobre 2020.

Eleanor Laws sera-t-elle capable d’arracher Mendy au sort de la conamnation à perpétuité qui semble déjà décidée à son encontre ? On le saura dans trois mois à l’issue du procès. Ce dont on peur gager cependant, c’est que ces plaintes rentrent dans un contexte mondial marqué par la mode des réminiscences des agressions ou supposées agressions s3xuelles dont certaines datent même de décennies en arrière. Dans deux cas sur trois, c’est la parole des plaignantes et de l’accusation qui a été entendue. L’icô,e du cinéma mondial, l’Américain Weinstein a ainsi vu sa carrière brisée et anéantie en octobre 2017 suite à des accusations d’attouchements et de viols.

Le malheur de Benjamin Mendy, c’est donc cette tendance mondiale qui oscille entre le fémininsme brutal et l’abus de la liberté d’expression ou du droit à la justice. On a ppelé ça le mouvement « MeToo », initiative lointaine de l’Américaine Tarana Burke, réchauffée par l’actrice Alyssa Milano au lendemain de l’affaire Weintein. Par le haschtag #MeToo, le mouvement vise à libérer la parole aux victimes d’agressions s3xuelles, de sexisme ouvert, de harcèlement de rue.

Les accusatrices profiteront sans doute du halo de cet élan. Leurs accusations seront prises pour de l’évangle. Bien que la première plaignate ait raconté des faits suspects comme la scène dans laquelle le joueur aurait surgi dans la salle de bain pendant que la plaignate y était toute nue en train de prendre une douche et aurait commence à se toucher puis à empêcher son interlocutrice de se recouvrir le corps avec la serviette et à la tirer surtout vers le lit, l’accusation peut ne pas lui opposer le fait de n’avoir jamais crié et appelé au secours.

Selon son témoignage rapporté par le journal L’Equipe, elle se serait contentée de se débattre en utilisant son corps et en répétant « Stop » ou « Non ». Pour son âge, 29 ans, n’est-elle pas plutôt laxiste à dessein ?

On attend de voir. Quoi qu’il en soit, personne ne sera surpris du verdict final si tant est qu’il condamne le joueur à la prison ç vie. Mendy sera alors une victime de plus du système d’hypocrisie et de délation qui fait croire qu’il défend les femmes.

Mawaki Sports
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